Sarah Murcia

Sarah Murcia-vignette

My mother is a fish

Samedi 13 février 2021
19 h 30 • Le Quartz, scène nationale

Plein 21 €
Tarif réduit / Carte Quartz 15 €
Carte Quartz + & adhérent·es Plages Magnétiques 11 €

chansons surréalistes, textes tragiques et burlesques

Dans la prolifique galaxie musicale de la contrebassiste et chanteuse Sarah Murcia, on croise Magic Malik, Las Ondas Marteles, Kamilya Jubran, Rodolphe Burger. Ou encore le quartet Caroline augmenté de Benoît Delbecq et de Mark Tompkins, singulier chorégraphe-performeur-chanteur. Des artistes qui carburent aux énergies de la musique improvisée, post-rock, de la polyrythmie et de l’avant-jazz, avec ce qu’il faut d’humour entre les lignes. Il en résulte une musique ouverte, inventive et terriblement excitante. Cette fois, l’ossature du projet est constituée d’un roman de mœurs rurales, à la fois tragique et burlesque de William Faulkner, écrivain chéri par Sarah Murcia. Un corpus bien stimulant dont s’emparent avec gourmandise ces passionnants interprètes.

Sarah Murcia contrebasse et voix . Gilles Coronado guitare . Olivier Py saxophone
Franck Vaillant
batterie . Benoit Delbecq piano . Mark Tompkins voix

My mother is a fish est une création musicale de Sarah Murcia d’après le roman As I Lay Dying de William Faulkner
Une production de Jazz Musiques productions
en coproduction avec : l’Espace Malraux, scène nationale de Chambéry Savoie ; le Théâtre Molière, scène nationale de Sète
et du Bassin de Thau et de la MCB°, scène nationale de Bourges.
Avec le soutien à la résidence de la Dynamo de Banlieues Bleues et du Théâtre de Lorient, Centre Dramatique National.
Avec l’aide à l’écriture d’une œuvre musicale originale du Ministère de la Culture ; l’aide au projet de la Direction régionale des affaires culturelles d’Île-de­France – Ministère de la Culture, et avec le soutien de l’Adami et du CNV.
(c) Copyright 2020, Faulkner Literary Rights, LLC. All rights reserved. Used with permission, The Literary Estate of William Faulkner, Lee Caplin, Executor” pour les textes originaux.
(c) Copyright Editions Gallimard pour les textes de Tandis que j’agonise, dans la traduction de Maurice Edgar Coindreau.