Rhoda Scott ladies All Stars

Rhoda Scott

Plein 25 €
réduit, adhérent·e Plages Magnétiques & abonné·e carte Quartz 18 €

Abonné·e étudiant·e – de 30 ans & carte Quartz + 13 €

À partir de 19 h 30, vous serez accuelli·es en musique
par une formation issue de la classe jazz du Conservatoire de Brest.

un groove intemporel au swing teinté de blues

À 82 ans, entourée par un all-stars 100% féminin, l’organiste américaine, célèbre l’affirmation des musiciennes dans le jazz, un mouvement dont elle fut l’une des pionnières.


Elle est née dans le New Jersey, fut « découverte » par Count Basie à Harlem et lancée en France par Eddie Barclay qui lui fit enregistrer pléthore d’albums. Depuis un demi-siècle, Rhoda Scott a été l’ambassadrice de l’orgue Hammond. Popularisé dans le jazz par Jimmy Smith, cet instrument bon marché, qui équipait les églises noires des États-Unis d’Amérique, permit de ramener la ferveur du gospel au cœur du jazz. Depuis 2004, Rhoda Scott est entourée sur scène des meilleures instrumentistes issues de ce mouvement de féminisation. Une formule all-stars, avec la batteu Julie Saury, la trompettiste Airelle Besson et les saxophonistes Géraldine Laurent, Lisa Cat-Berro et Sophie Alour. Placé sous le sceau du swing, le titre de leur album, We Free Queens, prend des allures de manifeste.

Maîtrise, énergie et timbres caractéristiques, Rhoda Scott est un mythe vivant de l’orgue Hammond. Le groove, le swing ont rythmé sa vie, elle qui a étudié la musique à New-York avant de s’installer en France. Rare femme instrumentiste à s’être imposée dans le monde du jazz, elle a joué avec les plus grands : George Benson, Count Basie, Ella Fitzgerald… À 80 ans passés, « l’organiste aux pieds nus » continue à faire groover son clavier de basse et son double clavier d’orgues (deux monumentales cabines Leslie) en assurant un jazz généreux et percutant.

Rhoda Scott orgue Hammond . Airelle Besson trompette . Géraldine Laurent saxophone alto
Sophie Alour saxophone ténor . Lisa Cat-Berro saxophone alto . Céline Bonacina saxophone . Julie Saury batterie